Bonjour, Didier peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Didier, j’ai 31 ans et je suis arrivé chez Agixis fin janvier 2017 après 6 ans d’expérience au sein d’une autre société de service. J’ai commencé dans le métier après avoir obtenu mon Master MIAGE.

 

 

Quelle formation as-tu suivie plus précisément ?

Après 2 ans de DUT à Bordeaux, je suis entré en 3ème année de licence en informatique puis j’ai continué en master au sein de l’Université Claude Bernard Lyon 1. C’est à la fin de ma première année de master Informatique que je me suis dirigé vers le master MIAGE (Méthode informatique appliquée à la gestion en entreprise).  Je suis aujourd’hui lead développeur en java, java JEE.

 

 

Pour toi, en quoi consiste le métier de développeur ?

Pour expliquer mon métier et le monde du numérique, j’aime bien utiliser l’analogie avec le monde du bâtiment dans lequel le développeur est un peu comme un maçon. Le monde du numérique a l’avantage de nous permettre de créer absolument tout ce que l’on veut sachant qu’il faut tout de même gérer des communications entre les éléments créés. On peut faire une analogie entre les routes des villes et les réseaux sur Internet par exemple. Mon métier de développeur consiste alors à construire des bâtiments, des locaux ou des intérieurs une fois que l’architecte m’a transmis ses plans. Cette construction se fait via le codage, ou programmation. Les maçons utilisent des briques et du ciment. Nous, nous utilisons des langages et nos outils sont des frameworks.

 

Les frameworks sont des outils développés à partir de langages standards, basiques qui permettent de construire plus rapidement par la suite. En informatique, il y a énormément de technologies et donc plusieurs langages et nous pourrions être amené à réinventer la roue à chaque projet, d’où la création de ces frameworks. Cet outil va ajouter une couche au langage que nous allons utiliser et cela va nous permettre de développer plus rapidement.

 

 

Selon toi, quelles sont les compétences essentielles pour être un bon développeur ?

Pour moi, être un bon développeur, c’est être capable d’écrire un programme qui soit compréhensible par n’importe quel autre développeur. Un bon développeur doit savoir ce qu’il développe, c’est-à-dire qu’il doit réussir à se positionner à la place de l’utilisateur car on peut souvent tomber dans des travers où l’on développe quelque chose qui nous parait bien et qui finalement sera inutilisable. Enfin, il doit être en mesure d’estimer le temps nécessaire à réaliser une tâche

 

 

Tu travailles ici depuis janvier 2017, comment es-tu intégré à la structure ?

Je fais partie d’une des équipes qui travaille directement au sein d’Agixis, c’est-à-dire au forfait. Je suis au sein d’une équipe qui est très agréable, jeune, dynamique et mon intégration n’a pas été difficile car nous nous sommes rapidement très bien entendus. Dans notre équipe, nous sommes assez complémentaires dans notre travail.

 

Sur quel projet œuvres-tu en ce moment ?

Depuis mon arrivée, je développe en java JEE un outil de veille concurrentielle avec les frameworks Angular Js, Spring et MyBatis essentiellement. Au départ, j’ai eu un premier rôle qui était de partager mon expérience afin d’améliorer la qualité et la performance de l’application, notamment côté base de données. D’ailleurs, je suis très satisfait de notre travail car nous avons regagné la satisfaction du client.

 

Mon rôle aujourd’hui, en plus de celui de développeur, est de participer aux phases d’analyses du besoin. Lorsque le client nous demande d’ajouter telle ou telle autre fonctionnalité, il faut alors analyser cette demande, comprendre les impacts de ce nouveau besoin sur l’existant et essayer de concevoir la nouvelle fonctionnalité de façon à ce que cela puisse évoluer facilement dans l’avenir et à moindre coût. Je participe également à l’estimation du budget nécessaire à la réalisation de différentes tâches du projet. Ces phases sont le résultat d’un travail d’équipe avec le chef de projet et l’architecte.

 

Il y a également un travail de maintenance et de correction. Nous utilisons notamment des outils collaboratifs comme un gestionnaire de ticket ou encore un wiki mais aussi des outils de gestion de projet pour relever les différents dysfonctionnements que nous pouvons rencontrer pour que toute     l’équipe ait accès à ces informations.

 

 

Être développeur au sein d’Agixis t’a-t-il apporté quelque chose en particulier ?

Oui, principalement en termes technologiques : n’ayant pas du tout d’expériences sur Angular Js ou encore SQL Server par exemple à mon arrivée, j’ai suivi une formation que je peux mettre en pratique directement sur le projet.

 

Ensuite sur l’organisation de travail puisque je participe à la mise en place de processus et d’outillages afin d’assurer la qualité des produits, sachant que les besoins d’Agixis sont assez différents par rapport à ceux de l’entreprise d’où je viens.

 

 

En dehors de la bonne entente avec tes collègues, y a-t-il d’autres éléments pour lesquelles tu recommanderais Agixis ?

Les projets chez Agixis sont de véritables challenges, ce sont des projets intéressants avec une complexité certaine qui nous offrent tous les jours de nouveaux défis. Autre chose, la proximité des managers est appréciable, ils sont disponibles et à l’écoute. Enfin, les soirées d’agences sont sympas et originales ! D’ailleurs, la dernière soirée d’agence (initiation au hockey sur glace) était vraiment top !

 

 

Peux-tu nous parler d’un challenge que tu as rencontré ?

En ce moment, j’ai un challenge particulier car, comme je l’ai expliqué précédemment, je développe avec Angular Js, une framework basée sur JavaScript facilitant la construction de pages web interactives. N’ayant que très peu d’expérience dans ce domaine, j’ai demandé une formation que j’ai obtenue récemment et que je mets désormais en pratique. Cette formation était très intéressante et complète, elle me permet aujourd’hui de tenir les délais, c’est là pour moi un vrai challenge car je suis confronté à des problématiques d’affichages peu communes pour moi.

 

Le projet sur lequel je travaille constitue en lui-même un challenge puisque l’application compte aujourd’hui près de 500 utilisateurs à travers le monde, ce qui ajoute une forte contrainte technique de performance et de fiabilité.